Améliorer un design grâce à 8 lois UX

Un site beau, c’est bien. Un site beau ET efficace, c’est mieux.
Aujourd’hui, avoir un design qui en met plein la vue ne suffit plus. Si votre site web est une œuvre d’art, mais que vos utilisateurs s’y perdent, cliquent au mauvais endroit (ou pire… ne cliquent pas du tout), vous passez à côté de l’essentiel : l’expérience utilisateur, ou UX.

L’UX, ce n’est pas juste un mot à la mode. C’est ce qui fait la différence entre un site que l’on admire… et un site que l’on utilise, recommande, et sur lequel on achète. Et ça, ce n’est pas du hasard : il existe des lois psychologiques universelles qui expliquent comment les gens interagissent avec les interfaces.
Dans cet article, on vous présente 8 lois UX incontournables à connaître pour transformer votre design en levier de conversion. Des principes simples, validés par la science, que vous pouvez appliquer facilement dans vos projets (oui, même sur Webflow ou WordPress).

8 lois UX incontournables

1. Ne pas réinventer la roue – Loi de Jakob

La loi de Jakob, formulée par Jakob Nielsen, expert mondial en ergonomie web, stipule que les utilisateurs passent la majorité de leur temps sur d’autres sites que le vôtre. Par conséquent, ils s’attendent à ce que le vôtre fonctionne comme les autres. En d’autres termes, ils souhaitent retrouver les mêmes repères et modèles d’interaction.

Plutôt que d’innover à tout prix, il est donc préférable de s’appuyer sur les conventions de design existantes pour faciliter l’usage. Cette approche réduit la courbe d’apprentissage et permet à l’utilisateur de se concentrer sur son objectif – acheter, s’informer, remplir un formulaire – plutôt que d’apprendre à utiliser votre interface.

Exemples d’application :

  • Le logo cliquable en haut à gauche renvoie à la page d’accueil.
  • Le menu de navigation principal est horizontal et en haut de la page.
  • Le panier d’un site e-commerce est positionné en haut à droite.
  • Le footer contient les mentions légales, CGU et liens vers les réseaux sociaux.

Pourquoi c’est important :

Une étude du Nielsen Norman Group a montré que le simple déplacement du panier (généralement en haut à droite) vers une autre zone de la page pouvait faire chuter les taux de conversion de 7,4 %. Cette baisse s’explique par une désorientation de l’utilisateur, qui met plus de temps à retrouver ses repères et à effectuer son achat.

Comment l’appliquer :

  • Réalisez un audit ergonomique de votre site actuel ou une étude comparative des sites les plus performants de votre secteur.
  • Listez les éléments d’interface qui doivent rester standards.
  • Réservez votre créativité à ce qui doit se démarquer : branding, storytelling, éléments différenciateurs.

💡 L’innovation est bienvenue, mais pas au détriment de l’utilisabilité. L’objectif d’un bon design UX n’est pas d’impressionner, mais de faciliter.

Ne pas réinventer la roue – Loi de Jakob

2. La taille compte (et la distance aussi) – Loi de Fitts

La loi de Fitts, formulée en 1954 par Paul Fitts, est une règle fondamentale de l’ergonomie. Elle stipule que le temps nécessaire pour atteindre une cible dépend de sa taille et de sa distance. En d’autres termes : plus un bouton est grand et proche du point d’interaction de l’utilisateur, plus il est facile et rapide à atteindre.

Dans le contexte du design UX, cela signifie que les éléments interactifs (boutons, liens, menus) doivent être visibles, accessibles et bien dimensionnés pour favoriser l’efficacité des actions.

Exemples d’application :

  • Un bouton CTA (Call-To-Action) important doit être plus grand que les autres éléments secondaires.
  • Les boutons de navigation sur mobile doivent être placés dans les zones facilement accessibles au pouce (en bas de l’écran, idéalement).
  • Sur desktop, les éléments d’interaction fréquente doivent être regroupés à proximité de la zone de lecture ou de focus de l’utilisateur.

Étude de cas :

Une marque de mode française, Ünkut, a déplacé un bouton CTA dans une zone plus facilement accessible sur mobile. Résultat ?

  • +55 % de clics sur le bouton
  • +7 % de transactions

Ce simple ajustement basé sur la loi de Fitts a eu un impact direct sur les performances business.

Comment l’appliquer :

  • Testez vos zones de clics sur desktop et mobile à l’aide de cartes de chaleur (heatmaps).
  • Adaptez la taille des éléments cliquables aux standards ergonomiques (au moins 44px sur mobile, selon Apple).
  • Placez les éléments importants là où les utilisateurs peuvent les atteindre sans effort.
  • Réduisez la distance entre les actions liées (ex : bouton « Envoyer » juste après un formulaire).

💡 Ce qui est difficile à atteindre est rarement utilisé. Ce qui est facile à cliquer est plus souvent cliqué.

La taille compte (et la distance aussi) – Loi de Fitts

En respectant la loi de Fitts, vous simplifiez les interactions, vous réduisez la friction et vous augmentez la conversion – tout cela sans changer une seule ligne de texte.

3. Diminuer les options accélère la décision – Loi de Hick

La loi de Hick-Hyman, ou loi de Hick, est une règle issue de la psychologie cognitive. Elle affirme que le temps nécessaire pour prendre une décision augmente avec le nombre et la complexité des choix proposés. En d’autres termes, plus vous donnez d’options à un utilisateur, plus vous ralentissez son action.

Dans le design UX, cette loi invite à réduire la charge cognitive pour que les visiteurs puissent passer à l’action plus rapidement et plus facilement.

Exemples d’application :

  • Évitez les menus trop longs : limitez les entrées à 5-7 catégories principales.
  • Privilégiez des formulaires courts et progressifs plutôt qu’un seul long formulaire.
  • Sur une page produit, proposez les trois variantes les plus populaires plutôt que 10.
  • Dans les tunnels de conversion, supprimez toutes les distractions : ne conservez que l’essentiel.

Étude de cas :

Amazon a mené une optimisation de son tunnel d’achat en réduisant le nombre de champs à remplir sur sa page de paiement. Résultat : +2,7 % de taux de conversion. Moins d’options, moins d’hésitations, plus d’achats.

Un autre exemple célèbre est celui d’un supermarché américain qui a proposé une dégustation de confitures avec 24 parfums, puis avec seulement 6.
Résultat : les ventes ont été 10 fois supérieures avec 6 choix.
Trop de possibilités génèrent de la confusion, voire de la paralysie décisionnelle.

Diminuer les options accélère la décision – Loi de Hick

Comment l’appliquer :

  • Limitez les choix à chaque étape du parcours utilisateur.
  • Classez les options par ordre de priorité ou proposez des filtres pour guider l’utilisateur.
  • Regroupez les éléments similaires ou secondaires dans des menus déroulants ou des accordéons.
  • Proposez des recommandations personnalisées au lieu de laisser tout le catalogue en libre accès.

💡 Moins, c’est mieux. Quand tout est important, plus rien ne l’est vraiment.

En intégrant la loi de Hick dans votre design, vous aidez vos utilisateurs à prendre plus vite les bonnes décisions – ce qui se traduit mécaniquement par plus de clics, plus de conversions et moins de frustration.

4. Rester organisé – Loi de Miller

La loi de Miller, formulée en 1956 par le psychologue George A. Miller, énonce que la mémoire à court terme humaine peut retenir en moyenne 7 éléments, plus ou moins 2. Cette capacité cognitive limitée signifie que les utilisateurs peuvent facilement être submergés par un trop grand volume d’informations simultanées. En UX, cette loi nous rappelle que pour améliorer la compréhension, la mémorisation et la navigation, les informations doivent être regroupées, hiérarchisées et présentées de manière structurée.

Exemples d’application :

  • Découper les longs paragraphes en listes à puces de 5 à 7 éléments maximum.
  • Regrouper les contenus similaires dans des blocs visuels distincts (cartes, sections, encadrés).
  • Structurer les menus de navigation avec des catégories claires, en évitant les menus à rallonge.
  • Présenter les étapes d’un processus (commande, inscription, onboarding…) sous forme de progression logique en 3 à 5 étapes.

Illustration concrète :

Prenez un numéro de téléphone : il est beaucoup plus facile de retenir 01 23 45 67 89 que 0123456789. Cette méthode de découpage – appelée « chunking » – s’applique à tous les contenus numériques.

Études UX :

Selon une étude Nielsen Norman Group, les interfaces bien structurées et épurées permettent de réduire le taux d’erreur des utilisateurs de 50 % et d’augmenter la mémorisation des contenus de 30 %.

Comment l’appliquer :

  • Limitez chaque bloc de contenu à une idée principale.
  • Divisez les formulaires complexes en plusieurs étapes ou sections.
  • Ajoutez des repères visuels (titres, couleurs, icônes) pour faciliter le repérage et la compréhension.
  • Hiérarchisez vos informations avec des titres Hn clairs et cohérents.

💡 Une interface claire, structurée et digeste réduit la charge cognitive et rend votre site plus efficace – sans rien changer au fond du message.

En respectant la loi de Miller, vous améliorez l’expérience utilisateur en offrant une navigation fluide, une meilleure rétention d’information et un parcours plus agréable – ce qui a un impact direct sur vos performances UX et vos taux de conversion.

5. Attentions aux pics et à la fin – Peak-end Rule

La Peak-end Rule, ou règle du pic et de la fin, provient des travaux des psychologues Daniel Kahneman et Barbara Fredrickson. Elle stipule que les gens évaluent une expérience en grande partie sur la base de deux moments clés : le moment le plus intense (positif ou négatif), appelé le « pic », et la fin de l’expérience. Le reste de l’interaction, aussi long ou fluide soit-il, pèse souvent moins dans leur souvenir.

Appliquée à l’UX, cette règle nous invite à concevoir des moments forts et mémorables, tout en soignant la sortie ou la clôture de l’expérience utilisateur. Car ce sont ces moments qui laisseront une impression durable – et conditionneront la satisfaction, la fidélité ou la frustration.

Exemples d’application :

  • Créez un moment fort positif : animation fluide, micro-interaction plaisante, message de confirmation enthousiaste, effet de surprise…
  • Travaillez particulièrement la page de remerciement après une conversion ou une action (achat, inscription, demande de devis…)
  • Personnalisez les messages de fin de parcours : ne laissez pas un utilisateur dans le flou après une commande ou une prise de contact
  • Ajoutez un message de feedback clair et valorisant : « Votre demande a bien été prise en compte, notre équipe vous répond sous 24h. Merci de votre confiance ! »

Étude de cas :

D’après une étude du Baymard Institute, 61 % des utilisateurs affirment qu’une page de remerciement bien conçue les incite à continuer leurs achats ou à revenir. Un design travaillé à cette étape – souvent négligée – peut donc faire toute la différence.

Comment l’appliquer :

  • Identifiez les moments clés de l’expérience utilisateur sur votre site (ex : ajout au panier, finalisation de commande, prise de rendez-vous…)
  • Rendez ces moments fluides, agréables, voire émotionnels.
  • Soignez chaque fin de parcours : utilisez des animations, illustrations, messages personnalisés…
  • Demandez un feedback post-action pour prolonger la relation et optimiser votre UX (formulaire de satisfaction, recommandation de produits, invitation à suivre sur les réseaux…)

💡 Les utilisateurs oublient souvent les détails, mais ils se souviennent toujours de ce qu’ils ont ressenti.

En mettant en œuvre la Peak-end Rule dans votre design, vous maximisez la mémorabilité de votre expérience utilisateur, favorisez les retours positifs, et stimulez la fidélité. Un dernier bon moment peut transformer une visite moyenne en expérience positive globale.

6. Si c’est beau, ça marche mieux – L’effet d’utilisabilité esthétique

L’effet d’utilisabilité esthétique est un biais cognitif bien connu dans le domaine de l’UX design. Il repose sur l’idée que les utilisateurs perçoivent les interfaces visuellement attrayantes comme plus faciles à utiliser, plus fiables et plus performantes, même si ce n’est pas nécessairement le cas d’un point de vue fonctionnel.

En clair : un site beau inspire confiance. Il semble plus crédible, plus professionnel, plus intuitif… même si la structure ou le fonctionnement sont identiques à un site moins bien présenté.

Si c’est beau, ça marche mieux – L'effet d'utilisabilité esthétique

Ce phénomène s’explique par notre tendance naturelle à associer le « beau » au « bien ». Dans un contexte digital, cela signifie qu’un design visuellement soigné peut atténuer des défauts mineurs d’ergonomie et renforcer l’engagement utilisateur.

Exemples d’application :

  • Utiliser une palette de couleurs harmonieuse et adaptée à l’image de marque
  • Choisir des typos lisibles et cohérentes avec le ton de votre entreprise
  • Travailler un design épuré, avec des espaces blancs qui respirent
  • Intégrer des micro-interactions élégantes (animations de survol, transitions douces)
  • Illustrer les messages clés avec des visuels pertinents et qualitatifs

Étude de cas :

Le Nielsen Norman Group a documenté plusieurs cas où un simple redesign visuel – sans modifier la structure fonctionnelle – a permis d’améliorer les taux de conversion. Dans un exemple d’e-commerce, l’ajout de visuels cohérents, d’une typographie plus moderne et d’une grille plus équilibrée a permis d’augmenter les conversions de 14,2 %.

Une autre étude menée par Google a démontré que les visiteurs forment une opinion sur l’esthétique d’un site en seulement 50 millisecondes. Cette première impression influence ensuite la perception de la crédibilité, de la qualité du service… et même la propension à acheter.

Comment l’appliquer :

  • Ne négligez jamais l’apparence générale du site, même pour une plateforme très fonctionnelle.
  • Travaillez la cohérence graphique : pictogrammes, icônes, boutons et visuels doivent tous appartenir à un même univers.
  • Soignez les animations UX : un loader fluide ou un message de succès animé donne un sentiment de finition.
  • Réalisez des tests utilisateurs comparatifs : entre deux designs identiques sur le fond, la version esthétiquement travaillée est presque toujours perçue comme plus facile à utiliser.

💡 Le design est silencieux, mais il parle fort. Et il influence la confiance, l’envie de cliquer et la perception de votre valeur.

L’effet d’utilisabilité esthétique montre à quel point l’UX et l’UI sont liés. Un site peut être parfaitement structuré, mais s’il semble daté ou négligé, les utilisateurs s’en détourneront. À l’inverse, un design soigné capte l’attention, inspire confiance et donne envie d’aller plus loin.

7. Intégrer l’effet Von Restorff dans votre design UX pour capter l’attention

L’effet Von Restorff, aussi connu sous le nom d’effet d’isolement ou « odd-one-out effect », repose sur un principe simple de psychologie cognitive : un élément qui se démarque visuellement de son environnement est plus facilement remarqué et mémorisé.

Découvert par la psychiatre allemande Hedwig von Restorff dans les années 1930, cet effet a d’importantes implications en UX : il permet de guider l’attention de l’utilisateur vers les actions importantes, les messages clés ou les éléments différenciateurs.

Exemples d’application :

  • Un bouton CTA (Call-to-Action) qui contraste clairement avec le reste de la page (par la couleur, la taille ou la forme)
  • Une offre promotionnelle mise en avant dans un bloc au design différent
  • Un formulaire encadré ou stylisé différemment pour attirer l’œil
  • Un produit mis en avant sur une fiche produit avec un badge, une étiquette ou une animation subtile

Études UX :

Selon HubSpot, les CTA visuellement différenciés (par exemple, en couleur contrastée) peuvent générer jusqu’à 35 % de clics en plus que ceux qui se fondent dans la charte du site. Cela montre à quel point le design influence la capacité de l’utilisateur à remarquer… puis à agir.

Mais attention : pour être efficace, l’élément mis en valeur doit être unique dans son contexte. Si tout est mis en avant, alors plus rien ne l’est réellement.

Comment l’appliquer :

  • Créez une hiérarchie visuelle claire : utilisez couleurs, tailles et positions pour hiérarchiser l’information.
  • Appliquez le principe de contraste à un ou deux éléments clés par écran, pas plus.
  • Utilisez plusieurs niveaux de distinction si nécessaire : forme + couleur + icône.
  • Pensez à l’accessibilité : ne vous fiez pas uniquement à la couleur (pensez aux utilisateurs daltoniens par exemple).

💡 Ce que l’utilisateur voit en premier, il s’en souvient. Ce qui se distingue, engage. Ce qui engage, convertit.

En intégrant l’effet Von Restorff dans votre design UX, vous captez l’attention au bon endroit, au bon moment. Vous aidez l’utilisateur à se repérer, à agir… et à se souvenir de votre marque.

UX Effet Von Restorff – Ce qui se démarque, se retient

8. Nous sommes impatients – Seuil de Doherty

Le seuil de Doherty, formulé dans les années 1980 par Walter J. Doherty, définit une règle essentielle en ergonomie numérique : pour maintenir l’engagement de l’utilisateur, le système doit répondre dans un délai inférieur à 400 millisecondes.

En d’autres termes, si une interface est trop lente à réagir, l’utilisateur perd patience, se désengage, voire quitte le site. À l’inverse, une réponse rapide donne l’impression de fluidité, de maîtrise, et renforce l’expérience globale.

Pourquoi c’est crucial en UX ?

Dans notre monde numérique où l’instantanéité est devenue la norme, la réactivité d’un site influence directement la perception de sa qualité. Un site lent, même bien conçu, sera perçu comme moins fiable ou moins professionnel.

Un temps de réponse optimal améliore :

  • La satisfaction (moins de frustration)
  • Le taux de rétention (moins d’abandons de page)
  • Le taux de conversion (plus de fluidité dans les tunnels d’achat)

Étude de cas :

Selon une étude menée par Google (Think with Google), une amélioration d’une seconde du temps de chargementpeut entraîner une hausse de 7 % du taux de conversion. En e-commerce, cela peut représenter des milliers d’euros gagnés… ou perdus.

Comment l’appliquer :

  • Optimisez les performances de votre site : minification du code, compression d’images, lazy loading, chargement différé des scripts…
  • Utilisez des outils comme PageSpeed Insights, Lighthouse ou GTmetrix pour identifier les points d’amélioration.
  • Privilégiez les animations légères et les effets CSS simples sur Webflow pour éviter les ralentissements.
  • Sur mobile, réduisez les redirections et préchargez les éléments critiques.

💡 La rapidité perçue est aussi importante que la rapidité réelle : affichez des loaders ou feedbacks immédiats si une action prend plus d’une seconde.

Respecter le seuil de Doherty, c’est garantir une interface UX réactive, intuitive et agréable, qui donne envie à l’utilisateur de poursuivre son parcours plutôt que de fuir.

Et dans un univers où la concurrence est à un clic, la vitesse est bien plus qu’un confort : c’est un avantage stratégique.

Un bon design ne repose pas uniquement sur l’esthétique : il s’appuie sur une compréhension fine des comportements humains. Les 8 lois UX que nous avons explorées – de la loi de Jakob au seuil de Doherty – sont autant de principes fondamentaux pour concevoir des interfaces qui ne se contentent pas d’être belles, mais qui fonctionnent vraiment.

En intégrant ces lois dans vos projets Webflow (ou tout autre CMS), vous optimisez chaque interaction, réduisez la friction, stimulez l’attention… et maximisez les conversions. Car un site qui respecte la psychologie de ses utilisateurs, c’est un site plus performant, plus engageant, plus rentable.

Chez Colibri Marketing, nous croyons que l’UX design est un levier stratégique.

Que vous souhaitiez améliorer votre site ou en concevoir un nouveau, notre équipe vous accompagne pour créer une expérience utilisateur et alignée avec vos objectifs business.

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